Néfaël Il'Orlyn
A coeur oublié, point de cicatrice.
A coeur oublié, point de cicatrice.
Elfe
Femme
Eau
67 ans
193 cm
Ordre élyséen
Colere
Chaotique
Neutre
Névrosisme Tendance à ressentir facilement des émotions négatives telles que l'anxiété, la colère, le désespoir...
Attitude souvent traduite par de l'agitation, du stress, du pessimisme et de la méfiance pouvant dans des cas extrêmes se transformer en paranoïa.
Agréabilité Tendance à être compatissant et coopératif. Importance accordée à la bonne entente avec les autres au détriment de la force de caractère, de l'inflexibilité des opinions et de la capacité à imposer une décision.
Conscienciosité Importance accordée à l'organisation et la planification au détriment de la spontanéité.
Les personnes consciencieuses ont tendance à apprécier le prévisible, l'exactitude et tendent vers le perfectionnisme dans leur travail.
Extraversion Importance accordée à la compagnie des autres et aux interactions sociales.
Une personne extravertie a tendance à rechercher la stimulation et à accorder une importance particulière à sa vie sociale.
Ouverture Appréciation
de l'art, de l'émotion, de l'aventure, des idées peu communes ou des idées nouvelles, curiosité et
imagination au détriment de la tradition.
Description mentale
Distante
Apathique
Sévère
Irritable
Morose
Il est difficile de cerner cette elfe au premier abord, même au deuxième. Elle ne laisse guère de place à la moindre effusion et rejette la plupart à son encontre. Un cœur qu'elle veut inaccessible se cache derrière cette carapace qu'elle défendra contre vent et marée. L'on peut lui prêter bien des intentions sans en connaitre l'origine : pédante, hautaine ou xénophobe comme l'est sans conteste sa famille. Il y peut-être un peu de vrai, il est après tout difficile de se détacher totalement du carcan qui l'a conditionné toute son enfance. Indifférente ou sans-cœur, comme elle se plairait à être en vérité. Impressionnante pour certain, de son allure glaciale se détache un charisme naturel, une présence froide et pourtant intrigante, comme chaque chose inaccessible en ce monde.
Chacun sait que l'on érige une si grande muraille pour une chose à préserver. Cela fait maintenant une dizaine d'année qu'elle l'a fortifiée, avec minutie et aucune faille ne saurait être tolérée. Elle pourrait y succomber si on lui prenait de nouveau, et cela, même les années n'ont réussi à la faire changer. Elles l'ont plutôt conforté et ont repoussé au loin tout intérêt pour autrui, à quelques exceptions qui confirment cette règle.
Elle sait faire preuve de respect lorsqu'il est de rigueur. Au devant de sa famille et de sa caste notamment, sachant pertinemment qu'il est difficile d'y évoluer sans un brin d'adaptation, même si elle répugne la première catégorie en particulier. Personne ne saurait pourtant déceler cette aversion pour ses géniteurs, encore moins les intéressés. Elle aussi est retranchée, car elle lui brise l'âme à chaque fois qu'elle y songe et préfère donc l'étouffer. Ses parents sont ainsi devenu bien moins que n'importe qui d'autre, à ceci près qu'ils dictent beaucoup de son existence.
Cette apathie générale n'est que rarement ébranlée, à moins d'avoir beaucoup insisté et mis à mal sa patience, ou avoir piqué des endroits insoupçonnés. Pour s'éviter de sombrer dans la colère qui la ronge et qu'elle cherche à faire taire, elle préfèrera quitter, sans sommation, une conversation qui l'incommode. Plus on l'a forcera à rester et plus ses barrages seront difficiles à tenir, mais jusqu'à présent, très rares ont été les fois où ils ont cédés. Du moins, en public.
Elle a pourtant deux cordes à son arc qui lui permette d'ouvrir les vannes sereinement. Parfois, sans même y songer à la nuit tombée, en observant le ciel étoilé, elle se perd à fredonner. Cette berceuse, qu'elle a pu lui chanter, un fois, il y a si longtemps, même si parfois elle croirait qu'une nuit à peine l'en sépare. L'eau est également l'un des meilleurs moyens de canaliser ses tourments. Une immersion complète dans le lac de Mystveil semble les dissoudre.
Elle croit les voir, parfois. De moins en moins avec les saisons, mais quand cela lui arrive, elle paraît absente, le temps d'une seconde avant de revenir au monde qui est sien malgré elle.
Chacun sait que l'on érige une si grande muraille pour une chose à préserver. Cela fait maintenant une dizaine d'année qu'elle l'a fortifiée, avec minutie et aucune faille ne saurait être tolérée. Elle pourrait y succomber si on lui prenait de nouveau, et cela, même les années n'ont réussi à la faire changer. Elles l'ont plutôt conforté et ont repoussé au loin tout intérêt pour autrui, à quelques exceptions qui confirment cette règle.
Elle sait faire preuve de respect lorsqu'il est de rigueur. Au devant de sa famille et de sa caste notamment, sachant pertinemment qu'il est difficile d'y évoluer sans un brin d'adaptation, même si elle répugne la première catégorie en particulier. Personne ne saurait pourtant déceler cette aversion pour ses géniteurs, encore moins les intéressés. Elle aussi est retranchée, car elle lui brise l'âme à chaque fois qu'elle y songe et préfère donc l'étouffer. Ses parents sont ainsi devenu bien moins que n'importe qui d'autre, à ceci près qu'ils dictent beaucoup de son existence.
Cette apathie générale n'est que rarement ébranlée, à moins d'avoir beaucoup insisté et mis à mal sa patience, ou avoir piqué des endroits insoupçonnés. Pour s'éviter de sombrer dans la colère qui la ronge et qu'elle cherche à faire taire, elle préfèrera quitter, sans sommation, une conversation qui l'incommode. Plus on l'a forcera à rester et plus ses barrages seront difficiles à tenir, mais jusqu'à présent, très rares ont été les fois où ils ont cédés. Du moins, en public.
Elle a pourtant deux cordes à son arc qui lui permette d'ouvrir les vannes sereinement. Parfois, sans même y songer à la nuit tombée, en observant le ciel étoilé, elle se perd à fredonner. Cette berceuse, qu'elle a pu lui chanter, un fois, il y a si longtemps, même si parfois elle croirait qu'une nuit à peine l'en sépare. L'eau est également l'un des meilleurs moyens de canaliser ses tourments. Une immersion complète dans le lac de Mystveil semble les dissoudre.
Elle croit les voir, parfois. De moins en moins avec les saisons, mais quand cela lui arrive, elle paraît absente, le temps d'une seconde avant de revenir au monde qui est sien malgré elle.
Description physique
Feat : Zed - Sciofra
Attitude générale
Néfaël n'est pas elfe à se laisser aisément approcher. Elle semble même s'efforcer, par tous les moyens, d'éviter d'être amicale, comme si l'intention même lui était impossible. Sans forcément être désagréable à moins d'avoir atteint les limites de sa patience, elle n'a pas l'air ni l'intention de se faire des amis. Elle n'est pas réellement froide ou désobligeante, mais surtout distante. "Elle gagnerait à être plus agréable" dit-on pourtant, du moins, l'on pense généralement que c'est regrettable d'avoir un minois si charmant et un personnalité si glaciale. Cependant, avec du temps et de la patience, il n'est pas inenvisageable de gagner sa loyauté, voir son amitié inavouée.
Impression laissée par le personnage
A l'instar de son rang et de sa race, son port altier et l'élégance de ses gestes évoquent la noblesse et la pureté de son sang. La douceur de son visage invite à la proximité et à la bienveillance. Son physique, lui, attire les regards et les convoitises. Son stoïcisme en revanche, la contemplation lointaine et cette vue peut impressionner, lui octroyant le charisme d'une beauté froide. Tout ceci n'est bien qu'apparence, un voile qui rapidement s'envole au croisement d'un regard que l'on pourrait jugé vide ou sévère.
Le premier contact n'est guère plus engageant et repousse les plus impressionnables. Même avec cordialité et politesse, son intonation est antipathique et n'invite pas à chercher l'inverse, à moins d'être audacieux, impertinent ou aider d'une bonne dose d'ivresse. Ses manières peuvent paraître également hautaine compte tenu de sa place dans la société.
Il en est ainsi si vous l'importuné ou n'êtes point invité. Car elle sait user de ses charmes si elle y voit un intérêt. Dans la mesure et la dignité, mais pour obtenir ce qu'elle souhaite, elle peut franchir bien des frontières, légales ou morales.
Particularités physiques du personnage
Loin d'être la plus grande de sa race, ses oreilles sont elles plutôt longues. Son teint rose, au grain fin et toile vierge de toute cicatrice, enveloppe une silhouette agréable aux courbes voluptueuses. Sa chevelure et son regard bleu sarcelle s'accorde avec des tenues souvent de la même palette. Un tatouage agrémente son front d'une lune inversée surplombant la forme d'une gemme, ou d'une pointe selon les interprétations.
Histoire
Occupation : Mage / Prêtresse de la lune héritière
Origines
Néfaël est indubitablement issue d'un milieu plus que privilégié. Née de l'union sans amour du grand mage élémentaire Miriel et d'Isil, fervente prêtresse de la lune, sa lignée est savamment aussi pure qu'elle le peut. La famille Il'Orlyn brille en société par son indéfectible rigueur en tout sujet. Éduquée dans les hautes sphères et modelée par la xénophobie peu dissimulée de ses géniteurs, la persuadant que seuls les elfes valaient la peine. Il aura fallu à Néfaël quelques décennies pour s'ouvrir à d'autres horizons.
Elle semblait, pourtant, jusque là, n'y voir aucun inconvénient. Si bien acclimatée qu'elle était. Sa mère lui inculquait les préceptes du culte Astral, le respect du couple royale, l'amour de la Terre-Mère et les prières à lui adresser chaque jour. Son enfance, millimétrée, rythmée par l'inexistence d'amour dans le foyer, n'avait aucune raison de corrompre sa moralité irréprochable, bien que toute relative étant donné le peu de considération pour le commun des mortels.
Son père, lui, la tenait à l'écart des relations inutiles. Après tout, en tant que prêtresse héritière et future génitrice d'un enfant pur lorsqu'il aurait trouvé l'heureux élu, elle n'avait aucun intérêt à se détourner des aspirations de sa lignée. Jusqu'à ce qu'un beau jour, son inclination pour la magie de l'eau ne pu être ignorée. Miriel, lui-même maitre de cet élément ne pouvait qu'être fier. Autant qu'un père qui ne lui porte aucune affection le pouvait. Il fut donc décidé, d'un commun accord de toutes les parties en apparence, de la faire étudier la magie à l'académie de Mystveil afin de parfaire sa maîtrise et suivre les traces de son père. Et là fut leur première et énorme erreur.
Faits marquants
Là-bas, ses talents s'imposent rapidement et la rigueur de son existence lui permet d'acquérir une grande maîtrise en un temps record, mais surtout à Mystveil, elle rencontre sans s'en soucier, divers personnages et ethnies en tout genre. Jusqu'à ce qu'un humain en particulier, finisse par franchir des barrières et atteindre des contrées que Néfaël elle-même ne soupçonnait guère.
Il n'avait pourtant, en aucune façon, retenue son attention. Il n'était qu'un grain de poussière parmi un océan de sable. Elle n'avait absolument pas remarqué la fascination qu'il avait à la contempler. De loin, car elle avait prestement repoussé sa première tentative. Pourtant, il n'était pas homme à se laisser abattre, loin de là. A force d'attentions, de poésie et de compliments à la volée, il est parvenu à capter son regard et au fond du sien, elle découvrit quelque chose qu'elle n'avait jamais connu auparavant. Une lueur éclatante, vivifiante, qu'elle ne savait s'expliquer. Il était trop tard pour elle, il avait, avec affection et patience, réussis à toucher et insuffler la vie à son cœur muselé.
Hippolyte était un homme foncièrement bon, aimable avec tous, souriant en tout temps. Courageux et particulièrement naïf, il percevait la plus belle parcelle en tout être sans se soucier des brimades dont il pouvait faire l'objet. Même la beauté en Néfaël, il la percevait, alors qu'elle même n'y croyait guère. Totalement désemparée, elle qui ne connaissait rien à de telles manières, s'est laissé peu à peu aller aux sentiments dont elle ignorait, jusqu'à lors, la simple existence.
Un amour sans ombrage, qui avait balayé nombre de ses croyances. Il l'avait foncièrement changé. Elle pouvait rire aux éclats à ses côtés, souffrir de son absence et espérer un avenir heureux. Il lui avait apprit à aimer l'eau et ses bienfaits, en dehors de son utilité magique. C'était un homme au plaisir simple, qui adorait se baigner dans le lac de Mystveil ou bien chantonner à l'ombre d'un arbre en sa compagnie. Le visage de Néfaël, en cette période, était vraiment éclatant.
Jusqu'à ce que, motivée d'une naïveté nouvelle, elle se présente au bras d'Hippolyte face à ses parents. Leur réaction ne se fit évidemment pas attendre et son rejet fut le plus total et les conséquences, funestes.
Séquestrée durant des mois pour la punir d'une telle méprise, aucune visite ne lui avait été autorisée. Au comble de sa maladresse, il est apparu évident qu'elle avait consommé leur relation puisque son ventre, avec le temps, s'arrondissait. La sévérité de la sanction avait été proportionnelle. Recluse dans sa chambre aux volets toujours fermés, seuls quelques serviteurs lui apportaient de quoi se sustenter. Même ses propres parents ne l'approchaient plus, jusqu'à son terme.
L'accouchement fut difficile, plein de larmes, assisté par la servante la plus empathique à sa condition. Mais la délivrance était complète lorsqu'elle put enfin tenir son nouveau-né en son sein. Son amour pour lui fut immédiat. Et elle s’interrogeait, le temps d’une seconde, sur les raisons qui justifiaient le détachement de ses parents pour elle.
Cette douce sensation s’exprimait d'une berceuse qu'elle chanta durant quelques instants. Une chanson qu’Hippolyte lui fredonnait souvent.
Avant qu'on ne lui arrache tout.
"Croyais-tu pouvoir empoisonner notre lignée impunément ?" lui rétorquait Miriel en quittant la chambrée, suivit d'un serviteur venu prendre l'enfant. Plusieurs autres furent nécessaires pour contenir le chagrin de cette mère éplorée, dont les cris retentissaient dans toute la bâtisse et qui, si on l’avait laissé faire, aurait pu détruire tous les murs se dressant entre elle et son enfant.
Son calvaire avait commencé il y a dix ans, presque exactement. A force de temps, d'excuses et de soumission, Néfaël a su regagner sa liberté, mais elle avait été profondément ébranlée. Sortant de sa torpeur, elle a essayé de retrouver Hippolyte. En vain. Il avait simplement disparu, volatilisé sans raison apparente. Ses soupçons se tournèrent inévitablement vers son père, mais elle avait retenu la leçon et ne se laisserait aller à de telles calomnies sans preuve.
Elle fut pourtant approché par une orque qui lui promettait de pouvoir lui offrir les informations utiles à comprendre l'origine de la disparition d'Hippolyte. Les preuves semblaient impliquer les traques-ténèbres, sans se douter de la supercherie qu'on lui servait. Néfaël aurait tant voulu les intégrer, mais elle apprit bien vite que cela aurait été trop difficile et que ses plans auraient été bien vite déjoués.
Zemb'Ewe faisait parti d'une organisation sombre, mais qui par son intermédiaire, offrait à Néfaël leur soutien dans sa quête, contre le sien. Et pour lier cette entente, elle dû prêter serment à Zemb'Ewe, grâce aux liens qui ne sauraient être brisés. Ainsi, en s'associant à la cause de la Chasse sauvage, elle finit par découvrir avec effroi que Miriel n'avait rien à voir là dedans. Son aimé avait, semble-t'il, été volontaire pour faire l'expérience de la nihilification et n'en a pas réchappé."Quel idiot" pensait-elle. Ses motivations lui étaient inconnues, mais sans retenue elle tenait sa naïveté pour première coupable.
Cette deuxième grande perte termina alors ce que la première avait entamé. La voilà brisée. Esclave de sa tristesse durant quelques temps, jusqu'à ce qu'un instinct de préservation la modèle en colère. Sombre et sourde, enrobée d'une nouvelle carapace, bien plus solide que l'ancienne afin d'éviter à son cœur de souffrir de quoi que ce soit d'autre. Espérant même oublier son existence. Non celle de ce qu'elle avait vécu, de ceux qu'elle avait aimé, mais de son cœur lui-même. "Je pourrais en mourir si on le torturait de nouveau" pensa-t-elle avant de définitivement l'enfouir.
Pourtant, elle ne souhaitait pas en rester là.
Liens importants
Miriel Il'Orlyn (père) : Miriel est un mage élémentaire maitrisant l'eau et reconnu dans les hautes sphères. Il a sévèrement enseigné à l'académie de Mystveil avant de quitter ses fonctions à la naissance de sa fille, pour se concentrer sur sa ferme éducation.
Isil Il'Orlyn (mère) : Prêtresse de la Lune, elle exerce depuis fort longtemps. Son indéfectible piété n'est plus a démontrer et elle est souvent encensée comme modèle de droiture. Ses convictions sont inflexibles et elle peut parfois se montrer extrême si on lui rapporte la quelconque expression d'un des péchés capitaux.
Zemb'Ewe Forgedunes (informatrice) : Elle est l'orque ayant prit contact avec Néfaël, il y a des années, pour le renseigner sur la disparition d'Hippolyte. Avec le temps de l'investigation, plus que le lien du serment qui les tient, une relation entre elles s'est créée. Néfaël lui voue une certaine loyauté, mais ne s'autorise pas vraiment à davantage.
Ambitions, raison de vivre, objectif...
Mue d'un nouvel esprit de vengeance, elle s'est donné pour objectif de laver la mort pathétique d'Hippolyte. Grâce aux informations achetées à Zemb'Ewe et au soutien plutôt éparse de la Chasse sauvage, elle enquête sans relâche en espérant trouver les responsables les plus directs de la mort de celui qu'elle avait tant aimé. Sans savoir que les véritables fautifs ne sont autres que ceux à qui elle est lié par un serment qui ne saurait être violé.
Réputation
Yggdrasil : Fille héritière d'une prêtresse de la Lune, d'une lignée pure et d'une famille à la notoriété rigoureuse.
Mystveil : Néfaël a joui de la réputation de son père, anciennement professeur de magie élémentaire, durant ses études, ainsi que de la place notable de sa famille noble.
Chasse sauvage : Sympathisante depuis environs 7 ans, elle n'a que peu agit ouvertement pour la cause, tâchant de répondre à égal investissement de leur part.
Historique - Noble
Le personnage a passé son enfance dans un milieu privilégié et à l'habitude du pouvoir et de la richesse propre à l'élite sociale.
Qui tire les ficelles ?
Pseudo : Aimdée
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