Zéphyr Novecento
Portons à coeur la richesse d'exister.
Portons à coeur la richesse d'exister.
Sang-mêlé
Homme
Feu
35 ans
175 cm
Ordre élyséen
Colere
Neutre
Neutre
Névrosisme Tendance à ressentir facilement des émotions négatives telles que l'anxiété, la colère, le désespoir...
Attitude souvent traduite par de l'agitation, du stress, du pessimisme et de la méfiance pouvant dans des cas extrêmes se transformer en paranoïa.
Agréabilité Tendance à être compatissant et coopératif. Importance accordée à la bonne entente avec les autres au détriment de la force de caractère, de l'inflexibilité des opinions et de la capacité à imposer une décision.
Conscienciosité Importance accordée à l'organisation et la planification au détriment de la spontanéité.
Les personnes consciencieuses ont tendance à apprécier le prévisible, l'exactitude et tendent vers le perfectionnisme dans leur travail.
Extraversion Importance accordée à la compagnie des autres et aux interactions sociales.
Une personne extravertie a tendance à rechercher la stimulation et à accorder une importance particulière à sa vie sociale.
Ouverture Appréciation
de l'art, de l'émotion, de l'aventure, des idées peu communes ou des idées nouvelles, curiosité et
imagination au détriment de la tradition.
Description mentale
Excentrique
Sarcastique
Rêveur
Artistique
Extrémiste
La floraison d'une âme débute par son berceau. Ses gènes. On lui a fait don de deux pôles. L'un d'un angélisme empli d'amour. L'autre, d'attractions pestilentiels qui laisse un goût luxurieux aux atrocités que l'obscurité peut donner. Tiraillé par ces deux forces extrêmes, son choix s'est vite retranché vers la foison de ses qualités, développées par l'amour de sa tendre mère. La créativité qui découlait de sa curiosité s'entremêlait à l'intelligence et sa joie de vivre commençait à devenir partie intégrante de sa nature. S'est sans se douter d'une main invisible et sournoise qui viendrait dénouer les liens les plus saints. C'est un serpent qui s'immisçait peu à peu entre les anges. Vicieusement, sa langue fourchu et sa présence perfide laissait sur le coeur, une âcre sensation. Une tension amère. Tout juste assez pour développer l'étincelle d'une rage abyssale. Le mal ne s'évince jamais, c'est un combat éternel, et encore aujourd'hui, il doit faire face à cette tragique dyade. Cette malédiction est jumelée par l'hypermnésie qui grave en lui les moindres affres du passé, mais c'est aussi grâce à cette faculté que les fruits de son coeur peuvent conserver leur éclat...
Forcé par le jugement et l'obéissance du patriarche, le paradigme de sa différence peinait à prendre son envol légitime. Plus les contraintes se forment, plus l'irrépressible volonté de s'émanciper se porte à ébullition. Cette envie s'agite et s'extirpe comme le vin des tonneaux de danaïdes, jusqu'à faire face à ses détracteurs. Le domaine familial passait d'enfer à pandémonium, mais il avait gagné persuasion et persévérance, force d'esprit et excentricité en toute liberté. S'est construit en lui, un profond dégoût pour les chaînes de l'asservissement et de la faiblesse d'esprit. Pour palier l'horreur des plans de son existence, il n'hésite pas à se cacher derrière l'humour, mal placé ou amorale, tout y passe tant qu'il peut dévier avec un sourire les méfaits du monde.
La superficialité joviale de son génie d'absurdité, n'est que le mirage d'un monachopsis. Sa place est partout et nulle-part. Il ne quitte jamais cette sensation de n'être jamais à sa place. Son esprit profondément disparate, est une fresque d'un abîme profond et bigarré, qui se dévoile par la complexité du langage qu'il s'approprie. Il perçoit différemment le monde. En lui s'exprime : des mots en image, des images en mot, des images en émotions et des mots en images d'émotions. Une synesthésie singulière, comme énième source d'éloignement, ou d'intérêt miracle pour ce bipède ecclésiastique.
Outre l'incompréhension globale que son soi véritable provoque, une certaine lucidité espiègle lui octroie une communication plus ou moins captivante. Éloquent, il s'orne de lyrisme, et laisse s'épanouir sa philologie à tout va. En revanche, ses innombrables absences équilibre son temps d'expression. Enjouée, expressifs, il est néanmoins capable d'afficher le mystère , les roses de son esprit colportent aussi leurs épines...
Il ne s'étale jamais sur son passé. Et jamais sur ce qui n'est pas positif. S'il vient un jour où son coeur se prend à déferler un grain de son malheur, l'horreur sera plus édulcoré et humorisé que la caricature de son originalité. Optimiste, philanthrope et mysanthrope à la fois, il passe d'un extrême à l'autre sans complexe. Ce qui peut s'avérer théâtrale et mélodramatique, n'est à le connaître, que l'omniprésence son second degré. On ne le prend au sérieux que lorsqu'il s'arme de sa voix hypnotique pour faire valoir son talent de persuasion. Rarement en colère, ce qui le change ce sont les autres. L'enfer c'est les autres prend son sens ici au travers la perception d'archétypes muni de miasmes. Pour faire court, le moindre écho d'un manipulateur, ou tout autre monstruosité psychologique auquel il assiste sera soldé par une rage qu'il souhaite expulser.
Téméraire, il n'est pas non plus insouciant face au danger. Sûr de sa force, sa magie n'existe que dans le seul but d'y répondre avec force. Même si au fond, ce n'est pas son souhait. En effet, ses recherches portent sur les bienfaits et les capacités curatives du feu. Lorsqu'il crépite sur les braises, qu'il s'embrase, sa voix l'appelle sur les sentiers de la fascination. Une certaine curiosité pourrait très vite se retrouver complice de ce qui se consume. Et tout se consume. La vie se consume et renaît de ses cendres, il y'a de la beauté même, dans la destruction.
Forcé par le jugement et l'obéissance du patriarche, le paradigme de sa différence peinait à prendre son envol légitime. Plus les contraintes se forment, plus l'irrépressible volonté de s'émanciper se porte à ébullition. Cette envie s'agite et s'extirpe comme le vin des tonneaux de danaïdes, jusqu'à faire face à ses détracteurs. Le domaine familial passait d'enfer à pandémonium, mais il avait gagné persuasion et persévérance, force d'esprit et excentricité en toute liberté. S'est construit en lui, un profond dégoût pour les chaînes de l'asservissement et de la faiblesse d'esprit. Pour palier l'horreur des plans de son existence, il n'hésite pas à se cacher derrière l'humour, mal placé ou amorale, tout y passe tant qu'il peut dévier avec un sourire les méfaits du monde.
La superficialité joviale de son génie d'absurdité, n'est que le mirage d'un monachopsis. Sa place est partout et nulle-part. Il ne quitte jamais cette sensation de n'être jamais à sa place. Son esprit profondément disparate, est une fresque d'un abîme profond et bigarré, qui se dévoile par la complexité du langage qu'il s'approprie. Il perçoit différemment le monde. En lui s'exprime : des mots en image, des images en mot, des images en émotions et des mots en images d'émotions. Une synesthésie singulière, comme énième source d'éloignement, ou d'intérêt miracle pour ce bipède ecclésiastique.
Outre l'incompréhension globale que son soi véritable provoque, une certaine lucidité espiègle lui octroie une communication plus ou moins captivante. Éloquent, il s'orne de lyrisme, et laisse s'épanouir sa philologie à tout va. En revanche, ses innombrables absences équilibre son temps d'expression. Enjouée, expressifs, il est néanmoins capable d'afficher le mystère , les roses de son esprit colportent aussi leurs épines...
Il ne s'étale jamais sur son passé. Et jamais sur ce qui n'est pas positif. S'il vient un jour où son coeur se prend à déferler un grain de son malheur, l'horreur sera plus édulcoré et humorisé que la caricature de son originalité. Optimiste, philanthrope et mysanthrope à la fois, il passe d'un extrême à l'autre sans complexe. Ce qui peut s'avérer théâtrale et mélodramatique, n'est à le connaître, que l'omniprésence son second degré. On ne le prend au sérieux que lorsqu'il s'arme de sa voix hypnotique pour faire valoir son talent de persuasion. Rarement en colère, ce qui le change ce sont les autres. L'enfer c'est les autres prend son sens ici au travers la perception d'archétypes muni de miasmes. Pour faire court, le moindre écho d'un manipulateur, ou tout autre monstruosité psychologique auquel il assiste sera soldé par une rage qu'il souhaite expulser.
Téméraire, il n'est pas non plus insouciant face au danger. Sûr de sa force, sa magie n'existe que dans le seul but d'y répondre avec force. Même si au fond, ce n'est pas son souhait. En effet, ses recherches portent sur les bienfaits et les capacités curatives du feu. Lorsqu'il crépite sur les braises, qu'il s'embrase, sa voix l'appelle sur les sentiers de la fascination. Une certaine curiosité pourrait très vite se retrouver complice de ce qui se consume. Et tout se consume. La vie se consume et renaît de ses cendres, il y'a de la beauté même, dans la destruction.
Description physique
Feat : Twisted Wonderland - Vil Schoenheit
Histoire
Occupation : Marchand Itinérant / Inventeur
Mystveil, une ville paradisiaque basée sur la méritocratie , poussant tout un chacun à se surpasser pour trouver sa place dans le monde. L'équilibre et l'harmonie, la collaboration et le cosmopolitisme main dans la main. Cela mène à la prospérité, et vivre dans un tel environnement ne peut que faciliter la réussite. Grandir dans ce rêve sociétale, doit être l'objectif de tout parent. Aucun soucis ne pouvait engloutir le bonheur d'une telle enfance, n'est-ce pas ? Mais ce que l'on ne dit pas tout haut, se vie tout bas. Les coins les plus sombres ne sont pas toujours les ruelles, les maisons en abritent bien plus...
Le Sang mêlé s'est mêlé au monde par l'amour d'une jeune humaine et femme prodigieuse, une mage végétale de Mystveil diplômée de la plus grande institution. Devenu professeure de cette même école, elle s'est éprise d'un des scientifiques les plus renommés. Finissant par emménager dans l'immense demeure de son promis, le domaine familial devint le sanctuaire rêvé pour le nouveau né : Zéphyr. Oui, comme la douce brise, mais elle a fini par lui expliqué qu'il s'agissait de Zéphyranthes, et que leur significations variées avaient pour but de lui offrir tout ce que le monde a à donner. La main verte, emplie d'amour pour la nature, elle le surnommait "Mésange ", car selon certaines significations, ces oiseaux seraient l'incarnation de l'optimisme et de la légèreté. " La vie doit se prendre avec légèreté " était un mantra chez elle, et elle ne lui manquait pas de lui rappeler à chaque fois qu'il s'impatientait.
Zéphyr n'a jamais été un enfant difficile, sauf pour les autres. Sa curiosité faisait de lui une piplette, et ses inventions faisaient perdre le sang froid de son père. Il n'y avait pas la place pour un vide de galéjade, jusqu'à ce qu'un froid de givre-nés s'installe métaphoriquement sur les lieux. L'avarice du père était palier par l'altruisme de la mère. Le soucis, c'était l'attitude de Zéphyr. Strict, autoritaire, le patriarche ne voulait pas que son fils couvre la famille de honte. Mais cela, n'était au départ qu'un long processus de persuasion...
Le bougre jouait sur les sentiments, ouvraient les failles de l'esprit et y insérait les échevaux de négativité et de doutes, poussant la confiance de sa famille au plus bas. Le regard des autres devenaient plus pesant lorsque le père était présent. La comédie et l'hypocrisie était de mise, pour satisfaire sa maison de poupée qu'il construisait. L'enfer débutait ainsi, dès ses 7 ans.
Sa mère en était la principale victime. Indifférent, il lui prenait toutefois ses idées pour se les approprier, rien que des mots au début. Il s'assurait qu'elle ne dorme peu, en laminant son moral à longueur de journée et de nuit. Sa violence verbale laissait des menaces, comme si sa propre famille lui était étranger. Il ne parlait que de lui, un narcissisme inavoué, un orgueil mal placé, qu'il usait pour écraser les autres. Il valorisait ses amis, il donnait et était adoré de son entourage, mais l'inverse était de mise lorsqu'il venait sucer à la moelle l'essence de vie de ses proches. Il serrait les chaînes de servitude par l'argent, le sommeil, la parole déguisée, sa fourberie, sa mesquinerie et son talent de manipulateur. Tout ce qui appartenait à sa mère était sien. Elle était coupée de tout, et le syndrome de Stockholm pouvait prendre une certaine forme. Elle se sentait coupable, se remettait en question sans cesse. Zéphyr protégeait sa mère mais se mettait parfois en colère car c'était la seule qui pouvait recevoir autour de lui, sans craindre les retours désastreux et malveillant de son géniteur. Ensuite, c'était le comportement qui instaurait la tension, une torture. Tu touchais à un ustensile, son regard se posait sur toi avec horreur, craignant que ses habitudes soient dérangées. Tu te déplaçait autour, il soufflait car il était dérangé. Le moindre de tes mouvements devaient être justifié, le moindre changement notifié. Pour que le fait même d'exister devienne un fardeau. Pour que rien n'échappe à son contrôle. Un archétype aussi funeste que les nihilims.
Heureusement, l'éducation l'a fait sortir, ce petit homme anxieux pour sa maman. Sa joie de vivre n'avait plus de place pendant une grande partie de son enfance. Mais l'adolescence lui a permis de faire jaillir les crocs qui étaient en lui. L'école n'était pas à son goût car les méthodes ne lui convenaient pas. Il palliait cela par son obsession pour la lecture. Un vrai rat de bibliothèque. D'ici, les portes se sont tout de suite ouverte. Ses adorateurs couvaient l'oeuf de son identité et le dragon est sorti. Déchaîné à ses 16 ans, il s'est rapidement imposé, son génie lui permis de concentrer une grande partie de ses efforts à l'élaboration de créations technomagique, surtout que c'était un domaine extrêmement récent. Rien n'était impressionnant dans ses inventions, mais chaque fois c'était assez utile pour qu'on laisse libre court à son émerveillement. Quelque-part, il souhaitait que la magie serve à rendre le monde plus léger. Une part de lui cependant, fasciné par le feu, demeure toujours souriant, aux aguets de ses états d'âmes... Il inspirait alors la crainte par ses pointes de lunatisme, mais surtout parce que rares étaient ceux qui pouvaient rivaliser avec sa magie élémentaire. De fil en aiguille, des liens se tissaient. Certains finissaient par l'accepter, et cela amenait des personnalités qui auraient bien besoin de protection.
Ce qu'il souhaitait était simple. Devenir le plus rapidement indépendant pour sortir de l'emprise paternel. Il ne disait rien, pas même à sa mère sur ce qu'il planifiait. Son plan était de devenir marchand itinérant, embarquer sa mère loin de cette misère. Au passage, s'il pouvait payer la monnaie de sa pièce, il en serait bien évidemment satisfait. Il se servit alors de son énorme bagout pour fonder un réseau d'approvisionnement en anima, recevoir des subventions pour développer ses inventions, et fonder ainsi son propre marché. Il ne lui fallu peu de temps pour tracer un itinéraire pour vendre ses babioles et se fonder une petite fortune. Ses inventions et les aides qu'il recevait pour les développer apportaient tout autant, si ce n'est plus de bénéfice. Connu de l'institution comme le fou de Mystveil par son attitude parfois déconcertante, il est apprécié pour l'étalage de son savoir qu'il met à disposition de la cité, sans pour autant perdre son droit naturel de s'enrichir autour. Son paternel ne pouvait passer à côté de son succès, mais il le craignait, lâche. Un beau pied de nez servi sur des oignons l'attendait le jour de ses dix-huit ans.
Pour fêter le jour de sa naissance dans le monde actif, Zéphyr fit parler sa force. Il aurait aisément pu le dominer de ses flammes ardentes, mais ce n'était pas le but. Il devait sentir l'humiliation. Tout s'est fait aux aurores. Affublé d'un accoutrement digne d'un véritable troubadour, armé d'innombrables inventions de sa collection, il se mit à piéger sa maison, tout en planifiant l'évasion de sa maman. Ceci fait, le réveiller pour passer au grand spectacle était ce qui l'exaltait le plus. Une revanche sur la vie. D'ailleurs, en âge et par sa situation financière légèrement aisée, il pouvait absolument faire ce qui lui chantait. Lorsque sa mère était en sécurité, le show pouvait prendre place. Rien n'était laissé au hasard. Ce qui semblait être un espèce de Cor de chasse portait l'annonce de la guerre. Lorsqu'il se réveillait pour hurler à sa guise, le serpent n'était pas plus bruyant qu'une fourmi. Sa bouche avait dors et déjà été victime d'un sort, préparé par un complice anonyme, même s'il n'allait pas durer longtemps. Ses mots incompréhensible se suivait d'une chute car le sol était recouvert d'eau. Cadeau d'un ami hydrophile. Musicien à ses temps perdu, Zéphyr engageait un petit chant accompagné d'un petit barde parmi ses adorateurs. La chanson s'intitulait " Entracte d'un cuistre" , il y contait avec finesse , l'illustre défaite de son géniteur avec de subtiles injures. Le patriarche devenu ridicule, n'avait aucun accès à ses vêtements, dans une maison glissante, face à de nombreux de ses amis qui ne retenaient guère de venir s'esclaffer de la situation. À cela, Zéphyr avait bien évidemment convié par missive, de nombreux collègues à son père, qui, après quelques instants, sont venus assister au spectacle en pensant que le père fouettard leur avait donné rendez-vous.
Après ces événements, la maman s'est tournée vers les petits villages du sud-ouest, afin d'offrir ses services. Elle voulait retrouver l'accalmie et se sentir réellement utile aux plus démunis. Quant à Zéphyr, cela fait maintenant plus de dix-sept ans qu'il parcourt les terres pour tenter de trouver l'essence de toute chose, d'exister et de trouver sa place. La perception du temps légèrement altérée par sa condition de demi-elfe, l'a poussé vers l'érudition sans se soucier des années. Ses nombreux voyages lui ont conféré de l'expérience auprès de la faune et la flore, mais la ponctualité de ses rencontres ne l'ont pas franchement aidé à savoir se lier d'amitié. Les affaires marchent et les rencontres éphémères se multiplient. Quelques clients réguliers arpentent toujours les environs, mais ce sont généralement des sages qui souhaitent un peu de réconfort. Cela fait cependant quelque temps qu'il souhaite un peu plus. Ses anciennes connaissances sont tous répartis au quatre coins du globe, ce qui le laisse seul, où il demeure auprès des chevaux de sa caravane de marchands.
Une passion enflammée le pousse, comme un muscle criant famine. Tel une tension qui ne demande qu'à être expulsé, le feu qui l'habite déteint une certaine ambition. S'il avait crier victoire pour être libre, quelque chose lui dit que sa place pourrait prendre un peu plus de place. Que ses aptitudes magique et technomagique, pourrait lui valoir des hauts-faits non négligeable. Que son existence devrait être à la hauteur de ses talents, qu'ils ne soient pas gâché. Une soudaine ambition pour le pouvoir, qu'il ne cesse de vouloir perfectionner de jour en jour.
Réputation
- Connu des environs pour son marché, ses inventions et son attitude digne d'un surnom " fou de Mystveil" par certains de l'Académie et de l'institution. De surcroît, son génie pour la magie élémentaire pouvait être craint et respecté en ces lieux.
Historique - Erudit
Véritable passionné, le personnage est une âme curieuse et instruite, qui ne recule devant rien pour élargir le spectre de son savoir dans un domaine donné.
Qui tire les ficelles ?
Pseudo : Novecento
Comment avez-vous connu le forum ? La soif d'un forum sur tablette bon marché m'a mené au paradis.
Qu'est-ce qui a motivé votre inscription ? L'entièreté de votre œuvre m'a amené à devenir Jeanne D'Arc par la voix de votre somptuosité.
