Le Calice des âmes est le nom donné à trois objets identiques, capables de sauver un être aux portes de la mort. Il ramène à la vie celui pour qui il n’y avait plus d’espoir, du moment que la mort ne l’a pas emporté (c’est-à-dire, tant que son cœur bat ou qu’il respire toujours). Certains, notamment parmi les scientifiques étudiant la nihilification, avancent l’hypothèse que le calice serait suffisamment puissant pour inverser celle-ci, et notamment rendre une âme aux sans-cœurs.
Utilisation : Les calices sont mentionnés dans quelques légendes et de rares chansons, mais sont considérés plus comme des mythes que de véritables objets. Chez les orcs notamment, ils sont considérés comme anathèmes et une légende de mise en garde… En effet, pour fonctionner, le calice requiert une vie sentiente comme sacrifice, sans quoi il n’est qu’un calice ordinaire. L’être fournissant le sacrifice ne doit pas être mourant lui-même, sans quoi le sacrifice est vain et le calice demeure inutilisable.
Un calice capable de guérison se présente comme rempli, et il ne peut être renversé. Le seul moyen de le vider est qu’il soit bu. Il n’est pas nécessaire d’avoir du mana pour utiliser le calice.
Origines et composition : La légende veut que les calices aient été construits à partir de morceaux de coquille de l’œuf originel d’Asha’Mandra. Cela demeure une hypothèse. Les calices, cependant, contiennent bel et bien des cendres d’Asha’Mandra ainsi que des plumes, leur donnant l’apparence d’un métal noir incrusté de vives plumes rouges.
Les calices sont des objets extrêmement anciens, créés par un guérisseur devenu nécromancien très talentueux, dont le nom a été perdu. Leur existence même n’est possible que grâce au puissant sacrifice volontaire de ses trois apprentis, garantissant aux calices leur cohésion. Le mage a par la suite rempli les trois calices une première fois, grâce au sacrifice de trois de ses ennemis : des chevaliers de l’ordre Solaris. Cette création l’a énormément affaibli, mais les légendes s’accordent toutes pour dire que deux des calices ont servi et sauvé deux vies : celle d’une princesse elfe, et celle d’un troll. Le dernier calice n’a jamais servi.
Ce dernier calice, rempli, a été dissimulé par le nécromancien avant qu’il ne meure, et est considéré comme perdu, bien que des pistes laissent à penser qu’il soit dissimulé quelque part dans le désert de sable noir. L’un des calices est entré en possession des orcs à un moment de son histoire, ce qui explique que leurs légendes soient parmi les plus claires et les plus condamnatrices autour de cet objet. Il a été volontairement perdu dans les profondeurs du lac Sinistrécailles, quand il s’est avéré impossible de le détruire. La piste du troisième calice est celle qui semble remonter le plus régulièrement à travers l’histoire, à travers de mystérieuses « guérisons miraculeuses », et celui qui le possèderait se garderait bien de le dévoiler…
Utilisation : Les calices sont mentionnés dans quelques légendes et de rares chansons, mais sont considérés plus comme des mythes que de véritables objets. Chez les orcs notamment, ils sont considérés comme anathèmes et une légende de mise en garde… En effet, pour fonctionner, le calice requiert une vie sentiente comme sacrifice, sans quoi il n’est qu’un calice ordinaire. L’être fournissant le sacrifice ne doit pas être mourant lui-même, sans quoi le sacrifice est vain et le calice demeure inutilisable.
Un calice capable de guérison se présente comme rempli, et il ne peut être renversé. Le seul moyen de le vider est qu’il soit bu. Il n’est pas nécessaire d’avoir du mana pour utiliser le calice.
Origines et composition : La légende veut que les calices aient été construits à partir de morceaux de coquille de l’œuf originel d’Asha’Mandra. Cela demeure une hypothèse. Les calices, cependant, contiennent bel et bien des cendres d’Asha’Mandra ainsi que des plumes, leur donnant l’apparence d’un métal noir incrusté de vives plumes rouges.
Les calices sont des objets extrêmement anciens, créés par un guérisseur devenu nécromancien très talentueux, dont le nom a été perdu. Leur existence même n’est possible que grâce au puissant sacrifice volontaire de ses trois apprentis, garantissant aux calices leur cohésion. Le mage a par la suite rempli les trois calices une première fois, grâce au sacrifice de trois de ses ennemis : des chevaliers de l’ordre Solaris. Cette création l’a énormément affaibli, mais les légendes s’accordent toutes pour dire que deux des calices ont servi et sauvé deux vies : celle d’une princesse elfe, et celle d’un troll. Le dernier calice n’a jamais servi.
Ce dernier calice, rempli, a été dissimulé par le nécromancien avant qu’il ne meure, et est considéré comme perdu, bien que des pistes laissent à penser qu’il soit dissimulé quelque part dans le désert de sable noir. L’un des calices est entré en possession des orcs à un moment de son histoire, ce qui explique que leurs légendes soient parmi les plus claires et les plus condamnatrices autour de cet objet. Il a été volontairement perdu dans les profondeurs du lac Sinistrécailles, quand il s’est avéré impossible de le détruire. La piste du troisième calice est celle qui semble remonter le plus régulièrement à travers l’histoire, à travers de mystérieuses « guérisons miraculeuses », et celui qui le possèderait se garderait bien de le dévoiler…