Oatio Edelbraith
L’art ne souffre d'aucun carcan et d'aucune éthique, mon esprit, comme mon corps, chantent en écho à telle musique.
L’art ne souffre d'aucun carcan et d'aucune éthique, mon esprit, comme mon corps, chantent en écho à telle musique.
Esprit incarné
Femme
Air
73 ans
181 cm
Apatrides
Luxure
Chaotique
Neutre
Névrosisme Tendance à ressentir facilement des émotions négatives telles que l'anxiété, la colère, le désespoir...
Attitude souvent traduite par de l'agitation, du stress, du pessimisme et de la méfiance pouvant dans des cas extrêmes se transformer en paranoïa.
Agréabilité Tendance à être compatissant et coopératif. Importance accordée à la bonne entente avec les autres au détriment de la force de caractère, de l'inflexibilité des opinions et de la capacité à imposer une décision.
Conscienciosité Importance accordée à l'organisation et la planification au détriment de la spontanéité.
Les personnes consciencieuses ont tendance à apprécier le prévisible, l'exactitude et tendent vers le perfectionnisme dans leur travail.
Extraversion Importance accordée à la compagnie des autres et aux interactions sociales.
Une personne extravertie a tendance à rechercher la stimulation et à accorder une importance particulière à sa vie sociale.
Ouverture Appréciation
de l'art, de l'émotion, de l'aventure, des idées peu communes ou des idées nouvelles, curiosité et
imagination au détriment de la tradition.
Description mentale
Extravagante
Hédoniste
Charismatique
Authentique
Assurée
Les mots... Que sont-ils, face à la complexité d'un esprit ? Face à l'insaisissable d'une nature transcendante comme la mienne ? Moi qui n'appartiens guère initialement à ces races éphémères. Les mots sont autant de barrières à la profondeur d'une pensée, d'un corps, d'un mouvement, de la vie... Et pourtant, à choisir, certains peuvent tenter de décrire la toile qui s'expose volontiers. Qu'ai-je à cacher ? Seul l'artiste connaît les diverses couches de peinture qu'il a pris soin de tracer.
Je suis entière, bien qu'à ce jour dissociée. Brute et authentique, portée sans cesse par la spontanéité. J'aime vivre, goûter à chaque parcelle de plaisir que m'offre cette existence charnelle. Je cherche à conquérir les sensations les plus infimes, comme les plus extrêmes. Peu importe leur déclinaison. Ou presque. Ma sensibilité étreint chaque paysage, chaque être, chaque courbe sculptée dans le réel du monde. Je m'en gorge et m'en délecte avec avidité, ou retenue... Parfois, les limites ont cette exaltante saveur, que de pouvoirs être enfreintes, dépassées, ou simplement effleurées.
Je me moque du qu'en dira-t-on, des règles, de la bienséance. Mes désirs tiennent les rennes de ma conduite, tantôt parfaitement appropriée, tantôt totalement décalée, empreinte d'une extravagance pleinement affirmée.
Mais cessons un tel sérieux. Je ne passe guère mon temps à tourner si joliment mes mots. L'emphase peut être mienne, sans être déplacée aux yeux des autres. La simplicité me sied à merveille, mon vocable sait se montrer cru et direct. A quoi bon tergiverser ? Alors que la franchise possède tout son charme.... Et reflète aisément le mien.
Je suis entière, bien qu'à ce jour dissociée. Brute et authentique, portée sans cesse par la spontanéité. J'aime vivre, goûter à chaque parcelle de plaisir que m'offre cette existence charnelle. Je cherche à conquérir les sensations les plus infimes, comme les plus extrêmes. Peu importe leur déclinaison. Ou presque. Ma sensibilité étreint chaque paysage, chaque être, chaque courbe sculptée dans le réel du monde. Je m'en gorge et m'en délecte avec avidité, ou retenue... Parfois, les limites ont cette exaltante saveur, que de pouvoirs être enfreintes, dépassées, ou simplement effleurées.
Je me moque du qu'en dira-t-on, des règles, de la bienséance. Mes désirs tiennent les rennes de ma conduite, tantôt parfaitement appropriée, tantôt totalement décalée, empreinte d'une extravagance pleinement affirmée.
Mais cessons un tel sérieux. Je ne passe guère mon temps à tourner si joliment mes mots. L'emphase peut être mienne, sans être déplacée aux yeux des autres. La simplicité me sied à merveille, mon vocable sait se montrer cru et direct. A quoi bon tergiverser ? Alors que la franchise possède tout son charme.... Et reflète aisément le mien.
Description physique
Feat : Banished Shadows - Aradia
Attitude générale
Nature peinture. Jamais une telle expression n'aura été si bien incarnée qu'en la personne d'Oatio Edelbraith. La jeune « femme » suit le flot de ses émotions et désirs, sans que nulle limite ne l'arrête. Elle pense ce qu'elle dit, dit ce qu'elle pense, entière et passionnée, son verbe comme son attitude ne sont que congruence et spontanéité.
Cela la rend plus difficile à cerner qu'on pourrait le croire. En effet, si elle demeure en accord constant avec ses pulsions et ses pensées, ces dernières ont de multiples natures. Sa sensibilité particulière la fait vivre et vibrer intensément, si bien que cela se traduit dans son comportement. Tantôt calme et posé, la seconde suivante exalté, emporté, sans aucune décence.
Si elle possède un charme avéré, tant par le magnétisme que dégage sa personnalité, ou ses formes qui semblent ciselées avec perfection, elle n'est doté d'aucune malignité. Jamais l'esprit incarné n'usera de ses charmes ou de son charisme pour duper ou blesser quiconque. Elle est. Simplement. Si quelque chose se produit, si ses mots se déversent, rien ne sera empreint de faux-semblant. Elle exprime ses désirs et envies ouvertement, librement.
Impression laissée par le personnage
« Elle vous adresse son regard, un sourire et … Vous chutez, sans plus savoir à quoi vous raccrocher. J'en connais beaucoup qui s'y sont perdus. Mais jamais complètement. Vous savez pourquoi ? A chaque fois, elle les a rattrapés. J'ignore comment elle s'y prend, cette femme pourrait vous bouffer tout cru, par sa volonté ou parce que vous l'en aurez suppliée. Et pourtant, il y a quelque chose. Quelque chose d'autre. Qui vous fait ressortir de là, sans d'autres cicatrices que la marque d'un souvenir intense et inoubliable. Elle ne vous ensorcelle pas magiquement vous savez. Elle en a pas besoin. »
(Un homme du peuple)
« Ne vous laissez pas embobiner par les formes que la nature a bien voulu lui donner. Ce n'est qu'une excentrique, sans la moindre once d'éducation. Qui se dit artiste, rien de surprenant. C'est toujours un bon prétexte, associer art et dépravation semble normal pour énormément de gens. Mais croyez-moi, ça n'en vaut vraiment pas la peine. C'est une catin qui dissimule habilement son jeu, rien de plus, rien de bien glorieux. »
(Quelqu'un de jaloux, assurément)
« Ses œuvres sont le miroir de sa prestance, ou bien est-ce l'inverse ? Beaucoup y voient de l’indécence, en elle, dans son art, mais non. C'est la marque d'une sensualité pure, débridée des canevas moraux. Une acceptation totale de sa nature, de celle du monde, de cette beauté sauvage et intrinsèque, qui échappent à tout ceux qui n'osent pas ouvrir les yeux. Bien sûr, l'artiste est d'une extravagance notable. Mais qui perçoit réellement ce qu'elle donne ainsi à voir ? »
(Un noble gentleman et poète)
Particularités physiques du personnage
L'esprit incarné se découple sous des formes sensuelles et élégantes, comme ciselées par des mains aériennes, similaires à sa nature profonde. D'une stature droite, elle affiche des courbes pleines, mais subtiles malgré tout. Sa corpulence n'est pas aussi fine que celle qu'on retrouve usuellement chez les elfes, d'ailleurs, elle se dit sang-mêlée. Semblant taillé par les vents des terres nordiques, alliés à la délicatesse elfique, son port altier reflète quelque chose d'énigmatiquement imposant. Ou peut-être est-ce là son charisme naturel, ni plus ni moins ?
Son regard, aussi perçant qu'envoûtant, attire indéniablement la curiosité comme la fascination. Ce dernier, d'un vert profond, semble posséder un iris qui épouse l'ensemble de ses formes, dépourvu du moindre espace immaculé, qu'on retrouve habituellement chez la plupart des races. Ce sont deux pierres rehaussées par un maquillage noir, habilement tracé, faisant écho à la pulpe intensément sombre de ses lèvres tentatrices.
Elle se vête en toute simplicité, de tenues faites à la fois d’éléments amples, comme de tissus qui épousent ses courbes avec volupté. Rien d’extravagant, à l'opposé de sa personnalité, des teintes ténébreuses, ponctuées de liserés d'argent discrets, qui tranchent avec l'ensemble. Quelques tenues échancrées, mais guère trop, pour cultiver le mystère d'une séduisante indécence à peine dévoilée. Le tout agrémenté de bijoux sobres, peu nombreux, qui prennent généralement la forme de boucles noires ou d'anneaux argentés, ornant ses oreilles, ainsi que de parures diverses, habillant son cou dénudé et parfois quelques bracelets d'or blanc.
Si son mode de vie ne le laisse guère transparaître de prime abord, la jeune femme dispose d'un physique athlétique, doté d'une grande souplesse, ainsi que de réflexes affinés. Elle peut se mouvoir avec une fluidité particulière, agile et toujours équilibrée. La danse, tout comme l'escrime, lui ont permis de développer cette dextérité naturelle.
Dans le bas de son dos, sur sa hanche gauche, est tracé un discret symbole. Une marque ancrée à sa chair comme son esprit. Et qui semble ne pas vouloir disparaître, signe que son auteure est probablement encore de ce monde.
Autres détails
Poids : 77kg
Corpulence : composée d'une élégance elfique, mêlée à la simplicité humaine d'une Givre-née
Yeux : verts
Cheveux : gris clair / argent mat
Peau : très claire, en harmonie avec les neiges éternelles du nord
Habilités artistiques : sculpture, peinture, piano, violon, chant, danse (certains autres instruments aussi)
Histoire
Occupation : Artiste peintre, sculptrice & musicienne renommée
Origines
An 361 ﴿﴾ Monts Brumeux
Je suis. Depuis combien de temps, je l'ignore. Jusqu'à combien de temps encore, il en va de même.
Je suis...
Un souffle… La vie. Je peux éveiller le feu endormi ou l’étouffer de mon absence. Je sais dresser des marées, comme apaiser la fureur de l’océan. Je transporte les graines, d’un arbre déclinant, le pollen d’une flore, qui étend ses racines. Mais je sais fendre l’écorce, scier le tronc qui se croit robuste et éternel, ravager les couleurs florales, de mes bourrasques célestes.
Pourtant… Je suis simplement Oa. Enfant de Ventus, parmi de nombreux autres. Un courant aérien, régulateur. Ma litanie caresse les Monts Brumeux, dont je gonfle le brouillard, sans jamais le dissiper. Jeux illusoires et distrayants, sans cesse théâtre de nouvelles formes, de mouvances singulières et délicates. J’y porte également la chaleur des saisons, tout comme les frimas de ces dernières. Je les puise près des côtes avoisinantes, m’étirant sur l’étendue bleutée de la mer.
Parfois, j’endors l’opaque nuée, la laisse tranquillement flotter sans mes nuances. Pour venir frôler les abords de cet espace qui m’est dédié. Arpenter les plaines plus fertiles, y recueillir diverses fragrances, que je sèmerai pour le bonheur des êtres peuplant la brume.
D’autres fois, je suis les traces des hommes. Ceux qui se fondent dans les volutes épaisses, pour émerger, le visage autre, innocent. La Terre-Mère sait combien ils sont coupables. Et moi plus encore peut-être. Dans ces monts, je charrie la putrescence des corps naïfs et inconscients. Je tâche d’évacuer les relents morbides que causent bien des humanoïdes entre eux. Tels des charognards, qui dépouillent leurs proies une fois éteintes. Mais point de leur chair, ils dérobent des objets brillants, je ne les comprendrai jamais vraiment. Alors je m’éloigne, drainant dans le sillage de leur caravane, l’odeur fétide des cadavres amassés. Pour la libérer dans des étendues plus vastes, bien plus à même que moi de la dissiper.
Rien ne change... Ils m'écœurent, je crois ? Je me meurtris au rythme d'un soupir éternel qui s'essouffle. J'abandonne silencieusement la brume des monts. Dépose une atmosphère stagnante dans mon sillage, sans plus me retourner. J'entends leur cris, l'appel vain d'un souffle salvateur pour emplir leur corps. Leurs poumons qui se gorgent d'âcreté et s'atrophient lentement sans cette vie que je distillais parmi les monts. Un autre prendra le relais, mais pour l'heure, seule la mort se repaît de mon absence. Quant à moi, je m'ouvre aux courants qui longent les côtes, puis me fond en leur cœur, avant de trouver nouvel horizon.
Faits marquants
An 428 ﴿﴾ Renaissance
J'ai parcouru ces landes, chaque infime parcelle de ce monde que les humanoïdes nomment à ce jour Ankaa. Caressé chaque courbe, chaque grain de terre, chaque affleurement de montagne, chaque vague, ... De mon passage aérien. Doux, tempéré, tumultueux... Ma liberté était infinie, mes déclinaisons tout autant.
Je parcours autrement ces landes. Un corps. Une chair. Une... Âme ? Je ressens différemment. Ai-je déjà ressenti réellement ? Ma nouvelle nature échappe à ma compréhension. Guère pour longtemps. N'est-ce pas là ce que j'ai recherché ? Tenté d'atteindre ? De découvrir et de vivre ? Quitte à me voir arrachée à mon essence primaire.
Je suis. Être de chair. Être de sensations. Être d'émotions. Enfin palpables.
Incarnation féminine, tableau composé des multitudes croisées lors de mes errances en tant qu'esprit. Couplées à l'essence pure de mon élément. Unique, authentique, entière, sensible. Jeune, innocente, vierge de toute inscription. Toute marque. Chaque seconde passée sous cette forme nouvelle en créera, cela ne fait aucun doute.
An 445 - 470 ﴿﴾ Voyages
Le temps s'égraine, m'apprend. Les rencontres font de mêmes, teintent mes sens, ma peau, mon esprit. Je n'ai guère le loisir de conter chaque passage d'une existence aussi pleine. Néanmoins, j'en garde la trace, intacte, au cœur de mes souvenirs.
Tout me fait vibrer. En bien, en mal, avec nuances. Mon parcours se peuple d'aventures, comme disent bardes et poètes. Je mène de nombreuses vies, et pourtant, toujours singulières. Je réalise l'intemporalité de ma condition. La mesure des attaches. L'importance d'une triste discrétion. La candeur disparaît très tôt, au profit d'un mélange plus subtil, fait d'habilités sociales et de mouvances calculées.
J'arpente les terres sous différentes bannières à plusieurs reprises. Celle d'une guilde aventurière en premier lieu, avant de rejoindre de valeureux chasseurs, qui confrontent cette nouvelle menace venue de l'Autre Côté et couvre une part des cieux.
C'est parmi ces derniers que j'ai fait la connaissance de Gaïus. Sang-mêlé humain et nain. Ami inconditionnel, amant exceptionnel, soutien sans faille... L'homme décline de multiples visages, d'une bienveillance dépourvue de naïveté. Encore à ce jour, nos pas se mêlent et se croisent quotidiennement, libres mais dévoués, un lien qui s'adapte continuellement à chacune de nos pensées.
An 470 - 482 ﴿﴾ Emprise
Sont-ce là les affres de la chair ? Les réels tourments de l'incarnation ? L'aptitude à éprouver des sentiments au delà de toute raison ?
Les rues sombres couvent un danger parfois mortel. Une lame, enfoncée profondément dans ma chair. Des lacis visqueux de vermeil. Un souffle qui s'éteint lentement. L'obscurité... Cette main tendue. Ce doux regard. Cette inébranlable confiance, peinte sur des traits cuivrés.
La maîtresse de maison est de noble ascendance, son port altier reflète toute la singularité et la prestance de son esprit. De ce caractère si authentique et affuté. Du charme indéniable qui enrobe chaque courbe de son corps, chaque vibration dans ses mots, la plus infime attention que vous porte son regard violacé.
L'attraction fut mutuelle. Tendre comme sauvage. Passionnée et violente, aussi. Au point de souhaiter m'y soustraire à un moment ? Oui. Mais sa marque est toujours inscrite sur mon corps. Apposée sans ma volonté. Un tracé délicat, pourtant forgé au fer blanc d'arcanes mystérieuses. Tels les serpents qui s'insinuent en mon esprit. La séduction magique, l'attachement et le désir factice. Elle possède tout de mon être, ses habiles facultés n'ont aucune limite.
Emprise.
Celle-ci est bien réelle, au contraire de tout ce qui nous unit à présent. Combien d'années ce sont écoulées ainsi ? Le temps et l'espace me semblent distordus. Jusqu'à la délivrance. Confuse, un flou dans ma mémoire. La maladie, la perte de ses aptitudes psychiques. Le relâchement de mes fers immatériels. J'ai fui dès que j'ai pu. Elle est tombée dans l'oubli d'une démence morbide. Mais pourtant... La marque sur mon corps, demeure.
An 482 - 501 ﴿﴾ Plaisirs
Quand les chaînes se délitent, que la chaleur du soleil berce à nouveau notre peau, que l'esquisse du vent frôle notre corps, que la musique de chaque son enivre nos sens... Il n'est d'autre souhait que celui de saisir pleinement l'instant.
C'est ce que je me voue corps et âme à faire depuis cette échappée salvatrice. Profiter du moindre plaisir, de la plus infime parcelle de satisfaction que je puis m'accorder. Ou me faire accorder, bien évidemment. Sans aucune entrave, nulle limite qu'elle soit de matière ou de raison. De moralité ou de bienséance. Peu me chaut. Je suis entière, dans tout ce que je vis.
J'apprécie tant, en ce monde sensible, que j'étends mon apprentissage et mes loisirs en toutes directions. Pour finalement trouver un goût, plus prononcé encore, au sein de certaines formes d'arts. Je m'y attèle avec une passion aussi libre que mon esprit. J'y dédie mon instinct et ma verve, sans me soucier de plaire. Et ces œuvres brutes trouvent sans mal le chemin du cœur des êtres. Si bien que mon tempérament sauvage, ce qui passe aux yeux d'autrui pour de l'extravagance, de l'immoralité, un talent débridé... gagnent sens et crédit auprès de beaucoup.
Je vis de mon art aisément, et avec toute la liberté que je chéris. Mieux encore depuis ma délicieuse rencontre avec Renzo Abarai, il y a quatre ans. Riche commerçant et collectionneur, dont l'amitié comme le mécénat me sont désormais acquis.
Nombreux me connaissent, depuis plusieurs années maintenant. Une réputation aux couleurs multiples, charmeuses comme dérangeantes, douces comme excentriques. L'on me remarque, en toutes sortes de circonstances, de lieux, de soirées, ... Avec un sourire, une attention personnelle ou encore une gêne palpable. Et ce, pour mon plus grand plaisir.
Liens importants
• Gaïus Halsif : proche de longue date, bras droit & "majordome"
• Renzo Abarai (Ishin Sombrecoeur) : mécène & ami proche
Ambitions, raison de vivre, objectif...
Combler mes sens, mes désirs, mes envies, ... Sans aucune entrave. Laisser mon instinct et ma nature s'écouler au rythme des flots qui m'appartiennent. Jouir de chaque instant qui se présente à mon être. Mon esprit. Mon corps. Dans le partage, également, de ces délices qui n'existent que lors d'une réunion entre deux individus. Voire plusieurs...
Réputation
Mystveil : établie dans une modeste demeure de la cité depuis près de 10 ans maintenant, l'artiste y est grandement réputée pour son art, comme son extravagance, ses charmes, et son excentricité.
Guilde des aventuriers : son passage y a laissé la trace d'un esprit libre et rebelle, mais également audacieux et entreprenant. Elle y a fait ses armes, y est même montée en grade, mais... Obéir ne convient pas à tous. Et un écart et si vite arrivé...
Guilde des Chasseurs de Wyvernes : forte de son expérience passée, elle y a trouvé une place, ainsi qu'un comparse loyal et un ami indéfectible. Une présence qui a su maintenir la sienne pendant un certain nombre d'années. Même si, une fois encore, la rigidité d'une institution a érodé la patience de la pierre précieuse brute et sauvage qu'est Oa. Qui s'en est allée vers d'autres horizons.
Historique - Vagabond
Le personnage a passé beaucoup de temps sur les routes ou dans des contrées reculées. Il dispose d'une certaine expérience sur les dangers du monde et de la nature sauvage.
Qui tire les ficelles ?
Pseudo : A.M.
Comment avez-vous connu le forum ? "Reroll" d'Eshen
Qu'est-ce qui a motivé votre inscription ? Toujours la même :3