Lokaïna Da Villia
Tout à prix en ce bas monde, à l'exception de ma loyauté.
Tout à prix en ce bas monde, à l'exception de ma loyauté.
Humaine
Femme
Air
31 ans
159 cm
Apatrides
Envie
Chaotique
Mauvais
Névrosisme Tendance à ressentir facilement des émotions négatives telles que l'anxiété, la colère, le désespoir...
Attitude souvent traduite par de l'agitation, du stress, du pessimisme et de la méfiance pouvant dans des cas extrêmes se transformer en paranoïa.
Agréabilité Tendance à être compatissant et coopératif. Importance accordée à la bonne entente avec les autres au détriment de la force de caractère, de l'inflexibilité des opinions et de la capacité à imposer une décision.
Conscienciosité Importance accordée à l'organisation et la planification au détriment de la spontanéité.
Les personnes consciencieuses ont tendance à apprécier le prévisible, l'exactitude et tendent vers le perfectionnisme dans leur travail.
Extraversion Importance accordée à la compagnie des autres et aux interactions sociales.
Une personne extravertie a tendance à rechercher la stimulation et à accorder une importance particulière à sa vie sociale.
Ouverture Appréciation
de l'art, de l'émotion, de l'aventure, des idées peu communes ou des idées nouvelles, curiosité et
imagination au détriment de la tradition.
Description mentale
Arrogante
Egoïste
Calculatrice
Lunatique
Dévergondée
Depuis ma toute petite enfance j'ai toujours su qu'il y avait quelque chose qui clochait chez moi.
Il manquait quelque chose.
Un sentiment d'inaccompli m'avais toujours hanté.
J'ai toujours haïs la morale, la bienséance, l'empathie et la solidarité. Déjà toute petite je blâmais le monde entier pour ce vide que je ressentais, mes parents pour être désargentés et incapable de répondre à mes désirs, mes "amis" dans les rues de Port-Augure qui ne se pliaient pas à mes commandes, les adultes de la ville qui me réprimandaient pour mes actes. Tous ne faisaient que me restreindre dans mes ambitions et mes désirs.
Je voue ainsi ma vie à ces désirs et ambitions désormais. Beaucoup me disent égoïste, certains me traitent même de psychopathe tant je porte peu d'intérêt pour quoi que ce soit d'autre que ma personne. Moi je pense surtout que je suis libre. Libre de tout ces carcans sociétaux qui brisent ambitions et personnalités, libre des sentiments empathiques qui enchaînent les âmes et écrasent les désirs.
Je ne suis pas un monstre pour autant, malgré ce que beaucoup veulent croire, je n'ai aucun intérêt à me baigner dans le sang de mon prochain ni volonté à infliger souffrances et maux à en perdre la raison. Je n'ai simplement cure de la vie d'autrui, si je dois tuer pour avancer je le ferais sans état d'âmes, si je dois voler pour acquérir ce que je veux je le ferai avec plaisir.
Selon mes accointances la seule qualité qui sauve un peu mon esprit abject est mon sens du devoir. Il est vrai que je met un point d'honneur à accomplir mon travail avec professionnalisme, efficacité et zèle. Rien ne me permet plus d'assouvir ma soif de richesses et de plaisirs que de servir avec loyauté mon précepte et son Fléau.
J'aime cependant rappeler à mes détracteurs que tant que l'on évite de se mettre sur le chemin de ma volonté, je peux être aussi douce qu'un agneau. Je ne voue pas de haine à l'existence même, pas plus que ne le fait la Chasse Sauvage, je dirais même que j'y suis particulièrement attachée. La société que nous nous sommes créer pour subvenir à notre besoin maladif de contrôle et d'avilissement c'est une tout autre histoire. La liberté de répondre aux désirs de mon âme c'est là tout ce que je demande.
Il manquait quelque chose.
Un sentiment d'inaccompli m'avais toujours hanté.
J'ai toujours haïs la morale, la bienséance, l'empathie et la solidarité. Déjà toute petite je blâmais le monde entier pour ce vide que je ressentais, mes parents pour être désargentés et incapable de répondre à mes désirs, mes "amis" dans les rues de Port-Augure qui ne se pliaient pas à mes commandes, les adultes de la ville qui me réprimandaient pour mes actes. Tous ne faisaient que me restreindre dans mes ambitions et mes désirs.
Je voue ainsi ma vie à ces désirs et ambitions désormais. Beaucoup me disent égoïste, certains me traitent même de psychopathe tant je porte peu d'intérêt pour quoi que ce soit d'autre que ma personne. Moi je pense surtout que je suis libre. Libre de tout ces carcans sociétaux qui brisent ambitions et personnalités, libre des sentiments empathiques qui enchaînent les âmes et écrasent les désirs.
Je ne suis pas un monstre pour autant, malgré ce que beaucoup veulent croire, je n'ai aucun intérêt à me baigner dans le sang de mon prochain ni volonté à infliger souffrances et maux à en perdre la raison. Je n'ai simplement cure de la vie d'autrui, si je dois tuer pour avancer je le ferais sans état d'âmes, si je dois voler pour acquérir ce que je veux je le ferai avec plaisir.
Selon mes accointances la seule qualité qui sauve un peu mon esprit abject est mon sens du devoir. Il est vrai que je met un point d'honneur à accomplir mon travail avec professionnalisme, efficacité et zèle. Rien ne me permet plus d'assouvir ma soif de richesses et de plaisirs que de servir avec loyauté mon précepte et son Fléau.
J'aime cependant rappeler à mes détracteurs que tant que l'on évite de se mettre sur le chemin de ma volonté, je peux être aussi douce qu'un agneau. Je ne voue pas de haine à l'existence même, pas plus que ne le fait la Chasse Sauvage, je dirais même que j'y suis particulièrement attachée. La société que nous nous sommes créer pour subvenir à notre besoin maladif de contrôle et d'avilissement c'est une tout autre histoire. La liberté de répondre aux désirs de mon âme c'est là tout ce que je demande.
Description physique
Feat : Chainsaw Man - Tatsuki Fugimoto - Quanxi
Histoire
Occupation : Contrebandière/Voleuse/Receleuse du précepte de l'Avarice
Origines
À mon plus regret, je ne peux pas vraiment me targuer d'une histoire personnelle tragique et traumatisante qui aurait pu justifier mes activités présentes et passées au sein de la pègre de Port-Augure, je suis née de deux parents aimant malgré leur pauvreté, rejetons eux même de petits conglomérats commerciaux ayant tragiquement fait faillite du fait de leur bons cœurs et leur crasse naïveté. Les Da Villia furent il y a bien longtemps une famille reconnu de Port-Augure de part leur activité frénétique dans l'import export tandis ce que la famille de ma mère, les De Iris avaient gagné quelque deniers et force prestige de part leurs expéditions corsaires. Aujourd'hui les deux familles ont été ruinés par les expériences commerciales de mes parents et je me suis assuré, après leur tragique disparition à l'aube de mes 13 ans lors d'une expédition commerciale interrompue par des pirates n'ayant eux pas renié leur très enrichissant métier, d'être l'ultime Da Villia lorsque j'ai lancé le dernier de mes cousins dans les eaux de Port-Augure.
Après cela ce fut la rue, un foyer bien plus plaisant que l'ennuyante et délabrée demeure familiale que j'avais fais vendre pour une modique somme. C'est là que j'ai finalement commencé à grandir et m'épanouir: au milieu des truands, des pirates et des quelques malheureuses honnêtes gens de Port-Augure. Je dormais chaque soir dans une nouvelle chambre, apitoyant parfois un docker pour qu'il m'invite à partager la soupe avec sa famille, payant parfois une chambre dans un rade miteux avec les menues larcins commis la veille sous les toits de ces derniers... Ce petit manège dura bien jusque mes seize ans, âge à partir duquel la roublardise que j'avais cultivé alors commençait enfin à payer ses fruits et m'assurer un revenu stable. En y repensant je n'ai rarement été aussi heureuse que lors de ces 3 années de misère crasse, je n'étais alors pas assez démunie pour souffrir ni assez débrouillarde pour être accablée de responsabilités, le bon temps somme toute.
Mais approchant de l'âge adulte et à l'appétit pour l'or et la débauche toujours aussi dévorant il me fallait bien quitter l'âge de l'innocence pour entrer dans les ordres. Ou devrais-je dire, les préceptes.
Faits marquants
Le moment le plus important de mon alors courte vie fut très probablement ma rencontre avec la Chasse Sauvage: j'en avais comme tous déjà entendu parler, tout particulièrement lorsque le Grand Gris pris la tête de la pègre de Port-Augure quelques années auparavant, mais je n'en connaissais que la surface, le rêve de pouvoir et de liberté et surtout son influence dans le monde que je m'étais choisis. Ce n'est qu'à mes seize ans, lorsqu'un des pirates se servant de plus en plus régulièrement de mes services pour "collecter" les dettes de jeu de ses rivaux des tavernes finis par m'inviter à rencontrer son capitaine que j'appris la véritable de la Chasse. Plus qu'un conglomérat de la pègre, c'était une idée, une religion tentaculaire et surtout: un rêve.
L'introduction à la Chasse Sauvage fut longue, la loyauté y étant prisée plus que tout au monde, et ayant à l'époque plutôt montré mon affinité à la trahison et au mensonge qu'à la fidélité je fus testée sans relâche... Quand à ma capacité à me rendre utile en me servant de mes menues talents, que ce soit en m'introduisant pendant de long mois au sein de petits groupes montrant peu d'entrain à accepter la domination du Grand Gris sur Port-Augure ou en payant régulièrement une lourde contribution monétaire, avec toute liberté quand aux moyen de m'accaparer de la somme. Ce n'est ensuite qu'en écoutant puis récitant religieusement les préceptes de l'Avarice chaque fois que l'on me faisait rencontrer à nouveau cette capitaine, ou plutôt cette Cabaliste comme je l'apprendrais bien vite, que je compris réellement la profondeur des enseignements de la Chasse.
Ce fut une révélation pour la jeune fille que j'étais: non seulement la haine bouillante de cette société avilissante qui m'animait était partagée par tant de gens, mais une alternative m'étais présenté. L'Autre Côté et son avènement sur notre monde promettait liberté, satisfaction et surtout le but qu'il me manquait jusque alors. Toute la haine, tout le ressentiment et l'absence d'empathie que je ressentais depuis toute petite trouvait enfin sens, je n'étais pas anormale, je n'étais brisé, je n'étais pas affligé d'un esprit incapable de s'intégrer... C'était bel et bien le monde qui m'entourait qui était vicié et inapte à subvenir aux besoins de nos âmes.
De petite criminelle sans autre volonté que de profiter des fruits de la vie je devenais l'instrument d'une cause véritable. Et contrairement au fausses promesses de notre monde, cette cause me le rendait bien, richesses et plaisirs s'offraient enfin à moi, et enfin mes frères et sœurs me reconnaissaient et m'encensaient pour ma volonté à en profiter dans l'excès. De cette intronisation représenté par une marque inscrite sur ma cheville j'avais enfin pu ouvrir les portes du paradis terrestre que j'avais toujours désiré, et rien n'y personne ne pouvait désormais me détourner des préceptes et de la Chasse.
Liens importants
Mes parents ont été et seront toujours des exemples pour moi. Je les méprisais comme jamais je n'ai méprisé autrui, par leur faiblesse et leur bonté maladive ils m'ont privé de mon avenir et forcé à m'en construire un par mes propres moyens.
Les pirates m'ayant introduis à la Chasse Sauvage au contraire... Ils m'ont tout appris, aucune veulerie, aucun excès n'est jamais trop tant qu'il est au service de notre cause et de la réalisation de notre potentiel.
Ambitions, raison de vivre, objectif...
Je désires tout, argent, plaisir, liberté, pouvoir, reconnaissance... Tout ce que la Chasse peut offrir je le veux, tout ce que je peux arracher à ce monde je le désire. Mes ambitions sont dévorantes et si un jour le Grand Gris venait à disparaître sans avoir pu accomplir les desseins du Confesseur et fais dévorer ce monde par l'Autre Côté, je ferais tout pour reprendre avidement le flambeau.
Autres détails de l'histoire du personnage
Depuis mon entrée dans la cabale de la Chasse je vis dans l'ombre de la pègre, présente partout où je le peux, m'immisçant dans chaque cercle de débauche, dans chaque transaction, sans jamais en faire trop, sans jamais resté assez longtemps au sein d'un cercle pour y devenir trop reconnaissable. Mais il est maintenant temps de me dévoiler, j'attends de déployer mes ailes depuis bien trop longtemps maintenant.
Réputation
Lokaïna est quelque peut connue en dehors des cercles privés de la Chasse Sauvage et du Précepte de l'Avarice, mais quasi uniquement comme une figure encapuchonnée et discrète, capable de dégoter n'importe quoi mais jamais disponible bien longtemps. "La petite blanche" "Petite Grise" ou "Chaperon Vert" font partit des patronymes sous lesquels elle s'est fait connaître.
Historique - Criminel
Le personnage a eu l'habitude d'enfreindre les règles et les lois et de s'entourer de personnes peu recommandables pour arriver à ses fins.
Qui tire les ficelles ?
Pseudo : Helia
Comment avez-vous connu le forum ? Google !
Qu'est-ce qui a motivé votre inscription ? Le design, l'activité et nombre d'inscrit et le contexte très libre et ouvert !
