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Vie de vol, d'arnaque
22 ans
Sang-mêlé
Colere

Sefira Olewale

Ceux qui craignent la douleur ne comprendront jamais le plaisir que j'y ai trouvée.
Sang-mêlé
Femme
Feu
22 ans
173 cm
Apatrides
Colere
Loyal
Mauvais

Névrosisme Tendance à ressentir facilement des émotions négatives telles que l'anxiété, la colère, le désespoir... Attitude souvent traduite par de l'agitation, du stress, du pessimisme et de la méfiance pouvant dans des cas extrêmes se transformer en paranoïa.
Agréabilité Tendance à être compatissant et coopératif. Importance accordée à la bonne entente avec les autres au détriment de la force de caractère, de l'inflexibilité des opinions et de la capacité à imposer une décision.
Conscienciosité Importance accordée à l'organisation et la planification au détriment de la spontanéité. Les personnes consciencieuses ont tendance à apprécier le prévisible, l'exactitude et tendent vers le perfectionnisme dans leur travail.
Extraversion Importance accordée à la compagnie des autres et aux interactions sociales. Une personne extravertie a tendance à rechercher la stimulation et à accorder une importance particulière à sa vie sociale.
Ouverture Appréciation de l'art, de l'émotion, de l'aventure, des idées peu communes ou des idées nouvelles, curiosité et imagination au détriment de la tradition.

Description mentale

Complexe
Résiliente
Intrépide
Provocatrice
Torturée
C’est dans les profondeurs tumultueuses de Port-Augure que tu survis, là où les vagues se brisent contre les quais et où les cris des marchands se mêlent aux chants des marins ivres. Tu es celle dont le sourire est aussi rayonnant qu’énigmatique. Nul ne sait si ta sociabilité est un don du ciel ou un art que tu as développé par nécessité, mais une chose est certaine, on t’a enseigné, dès l’âge où l’innocence se perd dans des regards fuyant vers ton décolleté, que la séduction était une arme efficace. Un sourire charmeur et une démarche assurée se montraient tout aussi efficace que de croiser le fer pour quiconque espérait gagner de l’argent de manière peu honorable. C’est ainsi qu’en grandissant, tu as troqué la filouterie des jeux enfantins contre des jeux d’adultes, où la manipulation peut valoir une pièce d’or.

Bien que tu excelles dans le jeu des relations humaines, du moins, quand tu le souhaites, tu n’entretiens aucune relation durable. Les hommes et les femmes que tu fréquentes n’existe à tes yeux que durant un court instant qui fini par s’évaporer aussi rapidement que la rosée sous le soleil du Zénith. Tu ne t’accroches à personne. C’est ton armure invisible, celle qui t’empêche de souffrir inutilement. Tu le sais, et tu l’as expérimenté sous bien des formes : les gens partent, te quittent et t’oublient. Cette armure, bien qu’efficace, est lourde, terriblement lourde et c’est là un de tes fardeaux. Car en réalité, tu ne désires qu’une chose : être aimé. Tu restes une énigme pour ceux qui te fréquentent, une femme dont les courants sont peuplés de contradictions, entre la force et la fragilité.

Derrière ton sourire énigmatique et ton visage parfois impassible, Sefira, tu caches une résilience née des flammes de l'exploitation. La douleur est devenue pour toi une compagne familière, une vieille amie qui te guide et te rassure. Chaque correction, chaque épreuve endurée s'est transformée en une étrange source de plaisir, un moyen de contrôler ton propre corps dans un monde où si peu te semblent maîtrisables. Tu as grandi en associant la douleur à une forme d'attention, à un amour déformé, mais tangible. Provocatrice, tu cherches délibérément les confrontations, attirant sur toi les regards, les mots durs et les gestes brusques. Pour toi, la souffrance physique confirme ton existence, te rassurant étrangement sur ta place dans le monde. Tu te tiens donc souvent au cœur des conflits, trouvant dans ce brasier de confrontations un réconfort mélancolique.

Gagner ta confiance est une épreuve en soi. Ton enfance t'a prouvé que rare était les interactions sincères et que nombreuses d’entre elle n’existait que pour t’exploiter. Ta confiance, elle se mérite, elle se gagne au fil d’épreuve. Mais tu en certaine, bien que cela ne se soit encore jamais présenté, si tu venais à accorder ta confiance, ta loyauté serait sans faille. Tu pourrais devenir cette protectrice, féroce dans ta défense de ceux que tu estimerais dignes. Cependant, tu n’en as pas conscience, mais moi, je le sais, cela te rendrait vulnérable, car tu en deviendrais naïve, prête à tout donner à ceux que tu aimerais, une connexion à défendre à tout prix, au risque de ton propre bien-être.

Au final, Sefira, tu es à la fois la lumière et l'ombre, l'éclat d'un rire qui peut se transformer en un froncement de sourcil menaçant. Ta complexité est le reflet de la ville qui t’a façonnée, un personnage complexe et profond, éternellement en quête d’amour, de reconnaissance, et peut-être, au fond, d’une paix que même toi, tu peines à définir pleinement. Tes relations sont marquées par des affrontements émotionnels, et tes dilemmes moraux révèlent un conflit interne constant entre tes désirs et tes actions. Ta vulnérabilité émotionnelle, bien cachée derrière ton assurance apparente, est le cœur de ta complexité, rendant chaque interaction avec toi un mélange de risque et de récompense pour ceux qui osent s'approcher trop près.

Description physique

Feat : Inconnu - Inconnu
Attitude générale Tu portes en toi une complexité profonde, forgé par les tumultes de ton passé. Nul ne saurait te caractériser, si ce n’est durant le laps d’un temps réduit, ramenant la réalité à un instant fugace et déjà dissipé. Tu es marqué par un équilibre délicat entre la force apparente et la vulnérabilité caché. En surface, tu affiches une confiance et une assurance qui peuvent sembler inébranlable, armée d’un sourire énigmatique et d’une démarche assurée qui masque souvent tes luttes intérieures. Tu possèdes une certaine acuité sociable lorsque tu le désires. Une capacité qui découle non seulement de ton enfance dans l’adversité, mais aussi de la nécessité d’anticiper les mouvements autour de toi pour survivre. Tu te sers de cette capacité tantôt pour te protéger, tantôt pour tirer une situation à ton avantage. Bien que téméraire, tu te montres méfiante avec ceux qui désireraient posséder un lien plus profond avec toi. Tu évalues ces personnes, habitué à anticiper la trahison avant qu’elle ne se produise. Ton cercle intime t’est réservé et nul n’ont réellement pu y pénétrer. Tes expériences passées t'ont enseigné à garder tes émotions sous un contrôle strict. Il est important de préciser que tu as une fâcheuse tendance à la provocation, qui vient s’inscrire profondément dans ta personnalité complexe. Au fond, tu le sais que cette inclination n’est pas seulement un reflet de ton désir d’attirer l’attention, mais aussi une stratégie de survie raffinée au fils des années. Cette facette se manifeste lorsque tu te sens coincé, sous-estimé. Tu n’hésiteras pas à lancer des mots tranchants ou des actions audacieuse afin de briser la monotonie ou le statu quo. Tu te sers de cela afin de créer une distance émotionnelle entre toi et les autres, un véritable mécanisme de défense pour te protéger de tes vulnérabilités profondes. En les provoquant, tu t’assures de les tenir à distance... Impression laissée par le personnage Bien sûr, il existe deux Sefira, l’authentique, la vraie, celle qui ne joue pas un rôle et celle qui s’adapte à son publique, joue la scène que l’on attend d’elle, celle qui sera parfaitement adaptée à son environnement afin de parvenir à ses fins. Pour autant, c’est la première qui est intéressante de décrire... Pour quelqu'un qui rencontre qui te rencontrerai pour la première fois, tu peux sembler énigmatique et intensément captivante. Ta présence est souvent perçue comme celle d'une personne confiante, avec un air de mystère qui invite à la curiosité. Ton allure, assurée, reflète celle d'une survivante, quelqu'un qui a traversé des épreuves et en est sortie plus forte. À première vue, tu dégages une assurance qui peut être intimidante pour les moins téméraire. Ta capacité à maintenir un calme imperturbable même dans des situations tendues fait de toi une figure à la fois rassurante et insondable. Ta tendance à la provocation peut être interprétée de diverses manières. Pour certains, cela peut être vu comme un signe de force et d'indépendance, une femme qui ne craint pas de défier les normes et de prendre des risques. Pour d’autre, cette attitude peut être perçue comme déstabilisante, voir agressive. Mais pour toi, ce n’est qu’une expression de ton intensité et de ton refus d’être ignoré. Enfin, malgré ton apparence parfois dure et ton comportement distant, il y a une certaine tristesse ou mélancolie sous-jacente qui peut transparaître dans tes moments de silence ou tes regards distants. Ceux qui sont plus observateurs pourraient percevoir cela comme un indice de ta complexité et de tes luttes intérieures, ajoutant une couche de profondeur à leur perception d'elle qui va au-delà de la simple voleuse ou provocatrice. Dans l'ensemble, tu es généralement perçue comme une figure complexe et multidimensionnelle, quelqu'un dont la réputation et le comportement inspirent à la fois respect, curiosité et une certaine mesure de réserve. Particularités physiques du personnage - Yeux couleurs miel - 3 petites cicatrices sur la joue gauche - 1 petite cicatrice sur la joue droite Du premier coup d’œil, il est facile de déceler tes origines elfiques puisque de longues oreilles pointues dépassent de ta chevelure. Ta peau blanche comme l’albâtre semble si lumineuse qu’elle aurait pu éclairer les ruelles les plus sombres de Port-Augure. Mais ce n’est pas seulement la pâleur de ton visage qui attire le regard sur toi, ce sont aussi les fines cicatrices, discrètes, mais visible, elles serpentent sur tes joues et viennent témoigner de ton passé, souvenir indélébile des bagarres au sein de « l’orphelinat ». Ton regards, envoûtant et mystérieux, de part la couleur ambre de tes yeux, portent en eux l’intensité du feu et la douceur du miel. Si les yeux sont effectivement la fenêtre de l’âme, les tiens révèlent un conflit intérieur entre une flamme impétueuse et un désir de tendresse qui affleure parfois à la surface. Tes cheveux d’une blancheur dont nul ne saurait ternir, tombent en cascade jusqu’à tes épaules. Et si par malheur une personne désirais, curieusement, s’aventurer sous les tissus qui viennent couvrir le haut de ton corps, il y découvrirait les nombreuses marques indélébiles qui parcourent ton échine, un dos marqué par les nombreux coups de ceinturons que tu as reçu au cours de ta courte existence.

Histoire

Occupation : Vie de vol, d'arnaque
À Port-Augure, tu as vu le jour. Fille d’une éphémère union entre une humaine et un mystérieux elfe. Mystérieux pour la simple raison que jamais tu ne l’auras connu, peut-être ignore-t-il même que la graine qu’il a semée a fini par germer et sortir de terre. D’ailleurs, tu pourrais également dire que ta mère est un mystère. Peut-on réellement dire que l’on connaît sa génitrice lorsque celle-ci abandonne son bambin à l’âge de deux ans ? J’en doute, et je sais que toi aussi, tu en doutes encore à ce jour. Tu t’es souvent questionnée sur les raisons de ton abandon, mais la thèse que tu as préférée considérer comme vrai, est celle d’une femme vivant dans la pauvreté avec une gamine aux oreilles pointues accrochées à son sein, lui pompant toute son énergie. Tu avais vu ce qu’était la vie à Port-Augure pour ceux qui ne gagnaient pas un sou, et tu étais convaincue que toi aussi, tu aurais abandonné un gamin pour survivre… Oui, tu essayais de t’en convaincre, cela rendait ton abandon plus facile à digérer. Dans ton malheur, tu t’accrochais au fait que ta mère avait dû suffisamment t’aimer pour ne pas te laisser à ton sort dans une des ruelles crasseuses de la ville. Elle t’avait laissé dans ce qui s’apparentait, ou du moins avait quelques points communs, à un orphelinat. N’était-ce pas là une preuve d’amour ? En-tout-cas, comme le reste, tu tentais de t’en convaincre. Ce jour-là, tu avais rejoint la plus grande des familles de ce monde : la famille des sans-famille. Comme on a cessé de te le rappeler durant toute ton enfance au sein de cet « Orphelinat », vous étiez une fa-mille, et une famille ça s’entraide. Alors, bien évidemment, quand tu as deux ans, tu n’aides pas grand monde, tu compris plus tard, que tu étais un investissement sur le long terme. C’est pour cela, que tu as, les premiers temps, été éduqué par tes « taties ». Des femmes au visage triste, fortement maquillé et avec un fort décolleté. Ce n’est que plus tard, que tu auras compris que tes « taties » n’étaient, finalement, que des putains. Des femmes, qui s’occupaient de toi, quand elle ne s’occupait pas d’un marin. Assurément, tu n’étais pas leurs priorités, pour autant, elles se montraient bienveillantes... Entre deux passes. C’est trois ans plus tard que tu fis prise en main par tes « tontons ». Autant le dire, que ce ne fut pas le grand amour, tout du moins, durant les premiers temps. Mais tu n’avais pas le choix, ils avaient été très clairs : « Aide la famille ou trouve-toi une autre famille ». Alors, finalement, tu avais appris à apprécier les tontons... Et leurs jeux. Des règles simples : tu devais chaparder tout ce que les stands de rues proposais et leur ramener. C’étaient tes premiers minuscules pas dans la criminalité, aussi petit qu’une enfant de cinq ans pouvait faire. Bien évidemment, tu te pris des roustes de la part des vendeurs mais rien de tout cela, au final, ne pouvait t’enlever la joie que tu ressentais lorsqu’un larcin se concluait en succès. Les années passant, les « tontons » t’enseignèrent l’art du vol à la tire, de l’esquive rapide, comment devenir une ombre dans la foule. Sous leurs tutelles, tu appris non seulement à rapiner, mais à survivre dans un monde hostile, à te défendre face à une lame, à bien serrer les poings avant de l’envoyer dans la figure du premier venu. Plus globalement, à prospérer dans l’adversité. Chaque objet dérobé, chaque pièce subtilisée te rapprochait un peu plus de la reconnaissance au sein de cette famille improvisée, même si au fond de toi, tu savais que ce lien était précaire, basé sur ce que tu pouvais apporter plutôt que sur un véritable amour familial. Bien évidemment, tout n'est jamais reluisant dans ce genre de famille incongru et il n’était pas rare que les tontons se montrent colériques. Violent lorsque l’une de tes journées n’était que peu bénéfique. C’est ainsi que tu compris que les roustes donner par les commerçants n'étaient nullement comparable aux corrections des "tontons". Tu te remémoreras toujours les paroles qui accompagnaient les coups : « La vie à Port-Augure est dure, bien plus dure que cette rouste ». Ce qu’ils ne précisaient pas, c’est que la vie au sein de ce que tu appelais « L’Orphelinat » te paraissait elle-même bien plus dure que la vie dans la rue. La compétition entre tes « frères » et tes « sœurs » étaient féroces. Chaque repas, chaque coin pour dormir se gagnait au mérite ou par la force. Tu te battais littéralement pour ta place dans le dortoir, apprenant à naviguer entre alliance et rivalités. Pendant plusieurs années, tu as endurci ton esprit et ton corps, souvent meurtri par les coups, souvent noyé dans la solitude. À mesure que tu grandissais, les visages familiers des aînés de ta singulière famille devenaient plus rares, te laissant une impression de délaissement qui pesait lourd sur ton cœur d’adolescent. Parfois, poussée par un besoin désespéré d'attention, tu allais les provoquer, espérant capturer leur regard ne serait-ce qu'un instant. Généralement, la seule réponse à tes provocations était une correction sévère. Étrangement, cette dure réprimande te convenait, car, dans ces brefs moments de douleur aiguë, tu te sentais exister pour quelqu'un, même si ce n'était qu'à travers leurs gestes de réprobation. Ainsi grandis-tu dans cet orphelinat jusqu'à l'orée de l'âge adulte, développant des stratagèmes toujours plus ingénieux pour contribuer aux ressources de ta famille. Tu passais tes soirées dans les bars, embobinant marins et marchands avec une habileté grandissante pour leur dérober leurs bourses lourdes de monnaie. Tu étais consciente que si tu ne parvenais pas à exceller dans l'art du vol, ton destin pourrait rapidement ressembler à celui des "taties", contraintes de vendre leur corps. Depuis des années, maintenant, tu avais percé à jour leur jeu. Ce qu'ils appelaient "famille" n'était en réalité qu'une façade pour une sinistre confrérie de criminels, exploitant la misère pour recruter des enfants destinés à alimenter des desseins obscurs. Malgré tout, pouvais-tu vraiment les maudire ? Sans leur intervention, tu aurais trouvé la mort. Ils t'avaient, à leur manière tordue, fournie un abri, de la nourriture, et même une forme d'éducation — certes dévoyée, mais réelle. Il t'était même arrivé de ressentir, au creux de cette étrange existence, des émotions telles que l'amour, la fierté, ou encore la gratitude. Oui, tout cela avait un coût, qu'il soit monétaire ou corporel, marqué par les sévices subis, mais... Tu étais encore là, tu survivais, et cela semblait être le plus important. Du moins, c'était le mantra que tu répétais pour apaiser les tumultes de ton esprit. Depuis peu, tu rêvais d'une existence différente, d'un chemin moins ardu et plus juste. Cependant, la figure imposante que vous appeliez « Père », le chef incontesté de votre « famille », martelait sans cesse une règle implacable : « On ne quitte la famille que par la mort ». Ces mots résonnaient dans ton esprit comme un avertissement sombre, une chaîne qui t'entravait à une vie que tu aspirais de plus en plus à fuir. Malgré l'étau de la loyauté, l'appel d'un avenir différent, un avenir que tu choisissais et non pas imposé, devenait de plus en plus puissant...
Réputation
Inconnu Historique - Criminel Le personnage a eu l'habitude d'enfreindre les règles et les lois et de s'entourer de personnes peu recommandables pour arriver à ses fins.

Qui tire les ficelles ?

Pseudo : Sefira Olewale
Comment avez-vous connu le forum ? Top-site
Qu'est-ce qui a motivé votre inscription ? Le lore, le design
Officielle : Négociante pour la compagnie de sa famille / Officieuse : Assassin
29 ans
Elfe
Orgueil
Avatar de l’utilisateur
Conscienciosité
Agréabilité
Névrosisme
Ouverture
Extraversion

Influence

Mystveil
Palier 2
Chasse Sauvage
Palier 2
Force : 8
Constitution : 10
Sagesse : 14
Charisme : 14
Intelligence : 16
Dextérité : 12

Bienvenue à toi Sefira !

Bon courage pour la rédaction de ta fiche et n'hésite pas si tu as la moindre question :3
Officielle : Négociante pour la compagnie de sa famille / Officieuse : Assassin
29 ans
Elfe
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Ouverture
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Mystveil
Palier 2
Chasse Sauvage
Palier 2
Force : 8
Constitution : 10
Sagesse : 14
Charisme : 14
Intelligence : 16
Dextérité : 12

Fiche validée
Félicitations ! Tu peux dès à présent rejoindre l'aventure sur Legendary.

Commentaire du modérateur
Félicitations te voilà désormais validée !

Quel joli personnage que tu nous a fait là, la pauvre Sefira n'a pas eu de chance en tombant sur la famille, elle va donc devoir maintenant se libérer de leur joug, à moins qu'elle ne prenne la place du « Père » et devienne à son tour baronne du crime ?
Hâte de voir ce que tu feras de tout ça !

Bon jeu à toi :D

Ton compte est d'ores et déjà prêt, mais il te manquera probablement tes talents, qui définissent les pouvoirs et capacités spéciales de ton avatar, ainsi que tes caractéristiques, qui te permettront d'utiliser le système de lancé de dés !

Liens utiles
- Codex des talents
- Post explicatif du système de talents
- Formulaire d'initialisation des caractéristiques
- Post explicatif du système de caractéristiques et de lancé de dés
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